prix mayoux

^{Le prix Mayoux-Dauriac fête la langue française}

À la fin de la 2e année du programme grande école, des élèves de chaque campus participent au prix Mayoux-Dauriac. Celui-ci distingue l’élève qui, à l’écrit comme à l’oral, manie avec finesse la langue française et la profondeur du propos. Ce prix, créé par voie testamentaire par Maurice Mayoux (Cl. 120) et auquel ce dernier a associé le nom de son épouse, Jeanne Dauriac, récompense tout simplement la maîtrise de la langue française. Doté de 1 000 euros par vainqueur, il est organisé par les délégués de la Soce.

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Par Djamel Khames
Publié le 2023-08-29

Djian Koester-François (campus de Metz), Martin Huet (Angers),Théa Chantegreil (Châlons-en-Champagne), Gaspard Poute dePuybaudet (Lille), Cécile Bailleul (Aix-en-Provence), Clarisse Bourbon(Cluny). Absent sur la photo : Thomas Malgouyres (Metz)

À chaque fin d’année scolaire, les organisateurs du prix Mayoux-Dauriac dévoilent les noms des heureux élus, un par campus. Voici la liste des gagnants sur les 49 participants de la cuvée 2022-2023 :

• Aix-en-Provence : Cécile Bailleul (Ai. 221). Cette année, les candidats devaient compléter leur dossier d’une production personnelle à partir de la citation de Paul Valéry : « Les Arts sont le fleuron de la culture. Les Métiers en sont le support. »

• Angers : Martin Huet (An. 221). Sa dissertation personnelle sur la force de vivre était introduite par une citation de Spinoza : « Nous ne désirons pas une chose parce que nous la jugeons bonne, mais nous la jugeons bonne parce que nous la désirons. »

• Châlons-en-Champagne : Théa Chantegreil (Ch. 221).

• Cluny : Clarisse Bourbon (Cl. 221). Selon Clarisse, « la production qui portait sur la citation de Gandhi : “Il est facile de se tenir avec la foule, il faut du courage pour rester seul” a été plus facile à rédiger que la note de synthèse sur les enjeux de la désindustrialisation en France ».

• Lille : Gaspard Poute de Puybaudet (Li. 221).

• Metz (deux lauréats) : Thomas Malgouyres (Me. 221) et Djian Koester-François (Me. 221). Le premier a réalisé une prestation orale surprenante en latin, où il liait sa passion pour cette langue morte et l’histoire. Le second a mené une réflexion personnelle à partir d’une note de lecture sur La Planète des singes, roman de Pierre Boulle. Il a également présenté, à des fins pédagogiques, un cours de musique en lien avec une démarche scientifique.

Métiers / Campus

Le prix Mayoux-Dauriac fête la langue française

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